She's lost control.
Je suis en train de refaire mes valises. Il fera beau et chaud (17°C) à Londres. Il me tarde. Je vais laisser des larmes ici. Parce que mes dearest F. et C. n'ont pas le sourire que j'attendais tant de revoir. J'ai réalisé avec douleur à quel point mon éloignement déposait un voile sur elles. Je ne suis plus celle "de tous les jours".
Une de mes principales motivations à revenir fin octobre avait été de voir mes parents ensemble une dernière fois, et assister mon frère et ma soeur. Vaine peine. La colère et l'exaspération sont nés, ma présence ne sert définitivement à rien, et aussitôt l'envie de retourner à Londres, mon échapatoire miracle.
Et apparemment, il y aura quelqu'un à étouffer de mes bras une fois débarquée de l'avion. Et des projets de voyages à formuler sur le chemin entre l'aéroport et Central London.
Je m'attendris.